Donjon et Dragon

Avec le retour en Dorak en hurlant, Draan et Sanyq furent réveillé. Le combat venait de prendre place Dorak, Thym et Sanyq se trouvait avec 3 adversaires chacun, grosse surprise pour le réveil du moine. Draan lui se réveilla face a deux gobelins, et un seul se chargeait de déloger le gnome de son arbre.

Les premiers coups partaient et une nouvelle fois, le barbare n'était pas une lumière, peut-etre le réveil un peu dur, il n'avait pas encore frappé. Sanyq, lui, n'appréciait pas d'ouvrir les yeux avec le visage d'une gobelin en face de lui. Encore allongé sur le flan, il balanca un violent coup de sabot dans le torse d'un petit truc vert, le projetant à un mètre, mort.

Le retour de Dorak en courant fut périlleux, dans la course, il avait glissé, pas de quoi le faire chuter mais l'empechant de porter un coup alors que l'un de ses adversaires directe parvint à le toucher, sans grave conséquence.

L'absence mental du barbare ne lui évita pas de prendre un coup de morgenstern dans la hanche avec une grand violence, heureusement pour le demi orque, il pouvait encaisser plus que ça.

Le duel racial entre le gnome et le gobelin se termina à l'avantage de l'archer qui parvint à lui décocher une flèche dans la tempe avant que l'etre au sol n'ajuste son tir de javeline.

Les trois gobelins attaquant le guerrier prirent trop confiance en l'état somnolent de l'humain, l'un d'eux se jeta carrément sur lui l'arme en premier mais le guerrier roula en sol évitant toutes les attaques mais perdit l'occasion d'attaquer par la même occasion.

Sanyq au sol parvint à se relever sans prendre de coup.

Les gobelins. Je n'en avais jamais vu et là j'en tuais pour survivre. On pouvait passer d'un extrême à une autre très vite et sans s'en rendre compte. Le vent soufflait doucement, le vent... Le courant d'air d'un morgenstern plutôt! Il s'enfonça dans mon bras et je poussais un cri un peu aigü.

"-C'est douloureux bande d'enfoirés!"

J'en avais marre de toute cette agitation. La maison n'était pas si nulle que ça...
N'y pense pas! Combats et cesse de penser!
Je jetais un coup d'oeil du côté de notre otage, que faisait-il?

Et tout continuait.

Draan, le cerveau toujours endormit arrivait à se défendre mais pas à se mettre dans la tête d'attaquer. enfin se défendre, plus ou moins, il avait éviter deux coups mais celui dans la jambe, bien que peu douloureux pour lui, fut bel et bien porté.

Sanyq lui expédia sa partie du boulot, en face à face avec le gobelin, son premier coup de poing était passé trop haut mais le second avait frappé en pleine machoire, dans un grand crack, précédant l'évacuation éclair de deux dents.

Dorak, visiblement plus préoccupé par l'otage que par sa propre survie, put voir que le gobelin était toujours inconscient. cependant deux coups de morgenstern bien placé et bien douloureux réussirent à le mettre de forte mauvaise humeur.

Thym avait des difficulté à se relever sous les coups alors il roulait par terre, mais démontrait un grand talent dans cette défense... particulière.

Le gnome, toujours perché dans son arbre se décida à porté secours au barbare en décochant une flèche sous l'omoplate ce qui aligna sur le coup la cible.

Enfin le barbare mettait sa machine à tuer en route, et d'une gigantesque coup de fléau de bourrin, il arracha un bras entier d'un gob, inutile de préciser que celui-ci n'est plus en état de dire aie. Malgré ce coup, le barbare eut une riposte violente et commençait à ne pas trop se sentir bien du tout.

Le moine se mit en direction du guerrier afin de lui apporter un léger coup de main, ou plutôt coup de point, il rata un gob mais son deuxième poing vint s'écraser sur la tempe du truc verdatre le clouant au sol.

LE rodeur continuait à encaisser les coups mais le dernier qu'il prit lui arriva pleine tête, toujours debout, mal un peu chancelant, il saignait bien, ratant par la même occasion sa frappe.

La force pure des roulades du guerrier allaient bientôt etre dignes de figurer dans les livres tellement sa défense était imbattue, bon il fallait un peu revoir la technique pour l'offensive.

le gnome, tel un gosse pouvait commencer à jubiler sur sa branche pour avoir abattu en fourbe trois ennemi jurés de son peuple en trois tirs succéssif.

Après avoir esquivé une dizaine de coups en me roulant pas terre, ces gobelins n'étaient décidément pas une race de guerrier,
je vis Sanyq pulvériser celui qui m'empêchait de me relever et donc d'attaquer.
Je profitais de ce moment d'aide pour me relever et asséner mon premier coup dans cette bataille inattendue.

Je m'écriais en me relevant :

" Merci bien Sanyq, je commençais à salir mon armure à force de me rouler à terre, je n'aurais pas aimer du tout. "

Je sortis enfin mon marteau, portant encore le sang séché des derniers ennemis, bien décidé à tuer du gobelin.

Le barbare libre de tout ennemi se dirigea vers le tas de Dorak en faisant tournoyer son fléau au dessus de sa tête, mais l'arme ne s'écrasa sur personne.

Le moine, voyant que le guerrier était debout prêt au combat, décida d'aller donner un coup de main au rodeur en mauvais état. Le moine s'intercalla plus ou moins entre Dorak et les gobelin pour lui accorder un peu de protection. Le poing droit dans le plexus, un gobelin s'allongea et s'eteignit.

Parmis les deux adversaires du rodeur, l'un d'eux ne se dégonfla pas par la chute de ses coéquipiers et parvint à frapper un tibia qui se mit immédiatement à saigner. l'autre ayant un échec de plus à son actif.

Malheureusement un peu trop tard, le gnome décocha une flèche dans les reins de celui qui venait d'allumer le rodeur.

Dans un dernier geste désespéré, le rodeur découpa en deux le gobelin d'un coup puissant de sa lame à deux mains. Affaiblit, il s'écroula inconscient.

De l'autre côté, celui du guerrier, statu quo, personne n'arrivait à se toucher.

le moine ne prit pas part à la suite du combat, préférant s'enquérir de l'état de Dorak. Visiblement ses plaies n'étaient pas trop grave et n'allaient pas entrainer la mort du rodeur.

le combat se termina rapidement par un double exécution par les barbare et le guerrier. plus personne n'était debout dans le camp ennemi. Le barbare terminant sa rage berserk, était épuisé.

Pas facile de décrire du noir. C'était flou et... noir. J'avais mal partout. Nausée, douleurs, rien de très réjouissant...

Sanyq se tourna vers les autres.

Je me déplace beaucoup plus vite que chacun d'entre vous, je peux l'emmener en ville pour faire soigner ses blessures dans un laps de temps très rapide. Au passage, je peux toujours essayer de revendre le barda de tous les gobelins tombés au combat.

Si vous êtes d'accord, rester la je reviens dès que je peux

Voyant l'état non réjouissif de Dorak, et commençant à éprouver une certaine sympathie à son égard, j'étais avec le centaure dans son choix, il allait plus vite que nous certes, mais il était aussi moins fatigué.

"Je suis daccord avec Sanyq, Dorak a besoin d'une remise en forme, et vite. Nous sommes déjà assez faible comme ça, pas besoin d'un quasi-mort pour combler le tout."

Sanyq utilisa les vêtements des gobelins pour accrocher le plus possible d'arme des gobelins puis prit Dorak sur ses épaules.

Je vous retrouve ici dans quelques heures, reposez vous et ne vous faites pas tuer

Il parti au galop en direction de la ville

Quelle bataille... Nous avions bien cru un moment que nous n'allions pas nous en sortir... Heureusement que ces gobelins furent tels qu'ils me mirent dans ma colère la plus noire et que je parvint ainsi à faire de sorte de sauver l'un d'entre nous (qui hélas à présent se trouve être dans un sale état). Bienheureusement, personne n'étais blessé à mort, JE vais bien, Sanyq s'apprête à partir pour la ville où il déposera le rôdeur pour qu'il y soit plus en sécurité... Je somnole contre un arbre lorsque... Je fus pris de cette douleur intenable... J'avais faim !

"-Eh Dwim, y a pas moyen que tu nous fasses du feu ? On a plein de bouffe avec ces gobelins, puis je crève la dalle moi... Comme ça on pourra faire profiter tout le monde !"

Cela va sans dire que ce repas était d'une extrème importance, car celà commençait à faire longtemps que nous n'avions pas mangé.

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Moi toujours sur mon arbre je me rejouissai de mes exploit parmi les rangs ennemis mais il fallait que je me calme un peu pour avoir une légère pitié envers le pauvre Dorak qui était bien ouvert.
"Tu as raison Sanyq,ammene-le en ville au plus vite pour qu'il se remmete rapidement de ces blessures mais si tu ne peux pas on peut toujours arranger ça..."
Sur ces mots j'entendis le demi-orc s'exclamai pour que je fasse du feu.
*Merde,pourquoi moi qu'est-ce que je fais?*
"Bon ok, je vais faire du feu mais je ne mangerai pas ces gobelins même si tu les trouve appétissant.Chasse donc misérable!"

Une migraine me martelait le cerveau me rappelant qu'hier, l'alcool avait coulé à flots. Je m'étais réveillé dans la rue et j'avais réussi laborieusement à me relever pour retourner à la taverne du Nain Charognard d'où j'étais sorti la veille un peu titubant. Je commandais une bière et m'installais à une table dans un coin. La bière était fraîche et je l'aurais appréciée si une personne ne s'était pas invitée à ma table. C'était une femme plutôt jeune aux manières simples et à la voix légère. Elle se présenta et se désigna comme une barde itinérante en quête d'aventures et d'épopées. Pourquoi était-ce toujours moi qui attirais les gens comme eux? Oui j'étais un peu différent des autres et alors? Différent...
Des écailles, des yeux jaunes lumineux, des griffes...
J'étais spécial et je m'en moquais. Je faisais ma vie sans demander ni rendre de compte à personne. Je ne lui répondais pas et elle entama donc un monologue sur sa vie d'artiste. Je retenais qu'elle allait de ville en ville pour trouver un héros et peut-être assister à un évènement qu'elle rendrait célèbre avec une chanson. C'était son but : laisser une trace derrière elle.
Je finis par me présenter, je m'appelais Rayk Kalidör et j'étais un demi-dragon comme elle l'avait constaté.
Elle était douée pour entretenir les conversations et je finis par l'accepter à mes côtés. Nous quittâmes la taverne et sortîmes de la ville. Je souhaitais lui faire découvrir un peu le coin. C'était une côte sans sable avec du vent et un peu plus loin une forêt. Je ne m'y étais jamais aventuré et la barde renchérit qu'on avait tout notre temps. Je soupirais et me mettais en route vers les bois que je voyais de loin. Nous marchâmes un peu et nous finîmes par apercevoir une silhouette allongée au sol, elle déballait des provisions et quelques affaires.
Je distinguais des pattes, une queue, une croupe... un centaure! J'eus un vif mouvement de recul et la barde faillit hurler croyant que je l'attaquais. Elle remarqua à son tour la créature et au lieu de se méfier, elle s'en approcha pour lui demander poliment qui il était...

Le centaure avait presque eut du mal à faire son travail, il avait longtemps galopé avec un gros poids important sur le dos. Bien que reposé son estomac l'avait durement tourmenté tout le long du trajet mais mettre le rodeur à l'abri et facultativement s'en débarrassé était prioritaire.

Après avoir laissé l'inconscient à l'église la plus proche, Sanyq eut du mal à revendre le matériel, les marchands étaient soupçonneux de voir un centaure avec tant d'arme. Malgré tout, il parvint à vendre le tout à un bon prix, et à trouver ce qu'on il avait besoin

après avoir acheter de quoi manger, il sortit de la ville pour manger à l'écart des humains. Mais même là, l'une d'entre elle vint lui parler. Il lui fit une accueil tel que le veux le monastère.

N'ayez pas peur, je n'ai nullement l'intention de vous agresser, je me nomme Sanyq, et vous?

Au cours de mon dernier voyage, je m'étais rendue dans un village assez différent de ceux que j'avais l'habitude de visiter. Le décor était assez monotone et les ruelles quelques peu désertes. Les volets des habitations n'avaient pas dûs être ouverts depuis des lustres, de la moisissure s'était installée entre les rails,et la rouille des goutières avait coulé le long des facades.J'aurais pu passer des heures à décrire cet endroit désastrueux, mais mon oeil fut attiré par une taverne qui semblait être la seule de la ville. Dès mon arrivée, le serveur me regarda d'un ton ironique. Etait-ce le fait que j'étais une femme, ou une des rares personnes qui venaient consommer ? Je me contentai de m'asseoir à une table et de réfléchir à quelques unes de mes compositions.
La venue d'un demi-dragon apathique attira mon attention et me fis penser que la présence de quelqu'un à mes côtés serait une bonne chose. A peine la porte refermée, il s'assit à une table et commanda une bière. Il ne semblait pas présenter le moindre danger et je sentis qu'une relation avec lui pourrait tourner à mon avantage. Je me levai et m'asseyai à ses côtés. Je commençai par me présenter et expliquer ma présence dans cet endroit sinistre.
A son tour, il m'annonça qu'il s'appellait Rayk Kalidör. Nous discutâmes un certain moment puis il me proposa de me faire découvrir le coin. Je le suivis donc à l'extérieur afin de faire la découverte des environs.Nous marchions en direction d'une forêt lointaine, Rayk me révéla qu'il ne s'y était jamais aventuré. Je lui répondis que nous avions tout notre temps pour découvrir cet endroit, et nous continuâmes notre chemin. Au bout de quelques mètres de parcouru, quelque chose arrêta mon nouveau compagnon. Il fixa le pied d'un arbre puis recula d'un geste brusque. Je manquais de hurler pensant qu'il allait m'agresser. Il n'avait pas fait attention et continuait d'observer l'arbre. Je penchais ma tête à mon tour et compris sa réaction. Un centaure était en train de prendre son encas.Je m'approchais de la créature et demandai des informations sur la personne. Derrière moi, je sentais Rayk méfiant, le centaure leva la tête et me dit:

N'ayez pas peur, je n'ai nullement l'intention de vous agresser, je me nomme Sanyq, et vous?

Vous me rassurez, je me nomme Ednya Straige, je suis barde et je suis au cours d'une longue quête, ah et aussi je vous présente à mes côtés Rayk Kalidör, nous venons de nous rencontrer et je l'accompagne dans son aventure. Mais, permettez-moi de vous offrir un petit quelque chose pour compléter votre repas.

Le centaure n'était donc pas un danger pour nous mais comment expliquer sa robe ensanglantée par endroit? J'étais suspicieux et franchement mal à l'aise quand je m'approchais de lui. Je le saluais furtivement de la tête et laissais entendre un vague "bonour". La barde avait joué la carte de l'amitié et avait offert une partie de nos victuailles. Je prenais dans ma besace du pain de la veille et en découpais un morceau que je tendais à notre nouvelle connaissance :

"-Content de vous connaître Sannyq!"

Les centaures étaient des créatures sylvestres qu'on ne voyait que rarement or celui-ci mangeait des provisions achetées en ville. Il en avait des quantitées considérables pour une seule personne. Ma curiosité aiguisée l'emporta sur ma nature plutôt timide et silencieuse :

"-Une famille à nourrir?"

Je rangeais mon morceau de pain un peu séché et m'adossais contre un des arbres proches. Il faisait beau aujourd'hui. Je ne m'attendais pas à rencontrer autant de personnes en un après-midi! Le centaure était assez imposant mais il ne me faisait pas peur. Mon expérience m'avait entre autre appris à ne pas sous-estimer les gens sans les craindre outre mesure. J'attendais la réponse du centaure assez impatiemment, allez savoir pourquoi?

Le centaure se releva et refusa gentillement les propositions de nourritures.

C'est bien gentil mais comme vous pouvez le remarquer j'ai amplement de quoi me nourrir même si la majorité de ce que j'ai sur moi est destiné à mes compagnons d'arme.

Soyez prudents si vos pas vous mènent dans la forêt, il y a actuellement de nombreuses patrouilles de gobelins et une des personnes qui a combattu à mes côtés à failli y laisser sa peau. Les environs ne sont vraiment plus sûrs.

La situation était si dangereuse dans la forêt pour rendre un centaure nerveux? La barde rêvait d'aventures je crois... Je l'attirais à l'écart du centaure et lui soufflais :

"-Tu es d'accord de l'accompagner dans cette forêt? Après tout, on cherche un peu d'action non?"

J'avais attrapé son bras et le relâchais aussitôt. Certaines personnes n'aimaient pas ma compagnie alors mon contact!

Le centaure ayant refusé la nourriture nous mettait en garde au sujet de la forêt. Rayk me pris le bras assez violement et m'emmena à part pour me proposer qu'on l'accompagne.
Ma réponse fût oui, sans hésiter.
Je retournai au près de Sanyq qui était désormais debout et lui demandai:

"Veuillez, si vous le tolérez, accepter notre présence en votre compagnie au cours de votre voyage. Vous voyez, nous ne sommes que deux et , je pense, pas assez puissants pour surmonter les dangers de la forêts."

A la demande de la barde, le centaure les regarda de plus près, un demi dragon ayant la même musculature qu'une jeune jouvenceau, probablement pas un combattant de corps à corps, et une jeune femme, plutôt ravissante, il faut le dire, un arc long dans le dos. Visiblement les deux se battaient à distance en cas d'ennui, c'est ce qu'il manquait au groupe.

Je ne peux parler au nom de mes compagnons mais venez tout de même, dans le pire des cas vous aurez visité la forêt avec la sécurité d'une troisième personne avec vous.

La seule chose que je vous demanderait, c'est de marcher vite, il y a déjà quelques heures que je les ai laissé la bas, la route et longue et ils avaient encore un blessé, je préfèrerai ne pas avoir de mauvaise nouvelle en arrivant.

Il nous acceptait à ses côtés. Pour cette journée en tout cas! Nous le suivîmes au trot sur la route précaire et quand nous passâmes la lisière de la forêt, nous étions essoufflés mais encore plutôt frais. Il était très prudent. On ne parlait pas et on le suivait silencieusement. Après une heure de marche, une clairière se dégagea et un camp dévasté fut visible. De nombreux cadavres de gobelins jonchaient le sol et deux hommes semblaient discourir sur le feu et la chasse. Je les observais longuement avant qu'ils ne se retournent. L'un était grand et verdâtre, l'autre petit et barbu. Je me râclais la gorge, paré à la première confrontation.

"-Hum... Hum...!"

Alors que nous parlions de l'accord que nous pourrions éventuellement passer avec le gnome, le bruit vaguement familier des sabots de Sanyq se fit entendre sur le sol terreux de la forêt.

" -Sanyq ? Qui c'est ceux-là ? D'où tu les sors ? Une femme ? Attend tu nous fais quoi là ? Où ça s'est vu une femme qui combattait....? Je m'interroge quant aux suite que nous allons encourir... Mais si tu comptes les intégrer au groupe, je demande à ce que tout le monde accepte. J'accepte le demi dragon, mais une femme..."

La chose s'était levée et s'était tout de suite montrée hostile à la venue d'une femme. Moi, je savais que la barde pourrait être utile (cuisine et ménage) et donc je préférais la jouer coulant.

"-Je viens de marécages bien lointains et elle je ne sais pas. Nous pouvons devenir de bons amis comme de très virulents ennemis."

Pour appuyer mes paroles, j'enflammais ma main avec un sort spécial et je faisais roussir le casque d'un gobelin abandonné à terre.

"-Comprends-tu demi-orc? Je ne me la joue pas je veux juste que nous nous respections étant donné que nous risquons de passer du temps ensembles."

"Mains brûlantes" un sort pratique pour saisir la viande et la cuire en la gardant saignante...

"-Je m'appelle Rayk, qui es-tu toi?"

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