Donjon et Dragon

Hum que j'aimais ce combat, cette ambiance qui rêgnait autour ! les fracas, les bruits, le sang qui coule... à vrai dire quand j'étais à la milice les seuls bruits que l'on entendés provenaient de la bouche du chef.

Sanyq venait de mettre Bibendum en sécurité, lui offrant au passage un vol à destination l'arbuste, mais il était sain et sauf.
Il ne me restais plus que 3 gobelins autour de moi, celui qui me suivais tout à l'heure (à croire qu'il m'aime) et les deux nouveaux bien frais. Enfin, bien frais, l'ancien gob du spadassin ne le resta que quelques secondes, le temps qu'il me fallais pour soulever mon marteau et l'abattre sur son crane.

2 ! Voilà un chiffre qui me plais ! Sans perdre de temps, je préparais un nouveau swing destiné au gobelin du prêtre, après tout je voulais gardé le mien pour la fin.

La fin du combat avait presque rimé avec fin de vie pour plusieurs des aventuriers, le spadassin éjecté par le centaure, le guerrier qui avait prit d'autre mauvais coup mais avait achevé ses proies et le barbares qui, semblable au guerrier, avait fini son travail.

Le roublard avec mit une flèche dans le vide mais aussi sur l'un des adversaire du guerrier pour l'aider.

Le moine avait achever ses adversaire, la barde, soutenue par le prète, avait tuer le dernier gobelin au bénéfice d'une grosse chute.

Le spadassin, dans ung rand effort, lança une dague pour achever le dernier gobelin.

Le combat était fini mais les aventuriers en avait fait les frais. Tout le monde était debout, le moine entreprit de fouiller et de mettre ses découvertes en commun.

Enfin... il ne restait plus de gobelins debout, rien que des dépouilles inertes gisant au sol.
J'avais pris deux coups durant le combat avec les deux derniers gobelins, pas très moche mais ils se faisaient sentir.
Encore tout en sueur, je regardais autour de moi, j'apercevais les spadassin couché au loin, Sanyq en train de fouiller et le gnome toujours perché, aucune nouvelles des autres, le feuillage m'empêché de les voir.

"Tout le monde est vivant ?"

Je foullais les cadavres des 4 ou 5 gobelins qu'il y avait autour de moi avant de me poser contre un arbre histoire de souffler.

Le combat avait été rude, le deuxieme gobelin que je venais de battre avait manqué de gravement me blesser. Perchée sur l'arbre, je m'étais allongée sur une épaisse branche le temps de reprendre mes esprits. Quelques temps après, une voix interpella au loin:

-Tout le monde est vivant ?

Je reconnu la voix du guerrier. Je penchai la tête, il fouillait des cadavres de gobelins et s'était ensuite adossé contre l'arbre auquel j'étais quelques mètres plus haut.
-Tout le monde, je n'en sais rien, mais moi oui...

Je descendis le rejoindre, il fallait retrouver le reste de l'équipe.

Le Centaure n'avait pas forcément prété attention au reste du groupe, ils étaient tous debout c'est le principal, maintenant, ils allaient tous se reposer

Seul le gnome manquait à l'appel, Sanyq l'avait perdu de vue une fois dans les arbres. Ceci dit, le centaure s'était plus affairé à regrouper toutes les affaires gobelines pour faire l'inventaire de leur prise.

Le mille-pattes siffla furieusement et s'évanouit dans un volute de fumée. Le combat s'était achevé laissant plusieurs aventuriers crevés, exténués et sanglants. Certains avaient de vilaines coupures et d'autres s'étaient fait mal en tombant d'un arbre. De la grosse plaie au bleue ridicule, tous le monde avait payé sa part avec plus ou moins d'équité. Je ramassais mon arc et allais vérifier que les gobelins qui m'entouraient étaient morts. J'avais pas envie qu'une javeline se plante dans mon omoplate une fois que j'aurai tourné les talons. Le centaure avait fait un carton même s'il avait été plus "contrarié" dans ce combat que dans celui de la nuit dernière. Le guerrier avait donné une leçon de golf à Tiger Woods et le barbare avait prouvé que l'analphabétisme n'empêchait pas de taper fort. Le gnome avait échappé à la surveillance générale et je vérifiais mes poches un peu soupçonneux avant de me reprendre, il n'aurait pas réussi à me dérober quelconque objet de jour et en plein combat. Exaspéré par ma méfiance, je regardais un peu autour de moi. Le barde avait fait mouche et je ne l'en aurais pas crue capable avant ce combat. Elle était plutôt surprenante pour une femme. Mais sans écailles et griffes, elle ne m'intéressait pas vraiment...
J'avais fait ma part du boulot. Pour cette fois en tout cas. J'entreprenais de fouiller les cadavres de gobelins mais je ne relâchais pas ma vigilance pour autant...

"-Vous endormez pas! lançai-je à la cantonade. C'est peut-être pas fini!"

Après quelques minutes sur place, il était vraissemblable qu'aucun gobelin n'ai survécu du moins, peu pensable qu'il attaquerait.

Sanyq fit un compte de l'argent, une petite fortune, revenant à 117 pièces d'or la part, Le centaure partagea rapidement la somme.

Allons établir le campement dans le leur, ils ont peut-etre des lits plus confortable que le sol. Ils hésiteront avant de venir nous rendre visite. Dit-il avant de se diriger sans attendre vers le campement

Nombre de messages : 35 Age : 46 Date d'inscription : 17/10/2007

Ma vengeance était accomplie, les gobelins qui jonchaient le sol en témoignaient, et malgré de profondes blessures infligées par mes adversaires, mon esprit était en paix.

Le combat avait été délicat, j'avais faillit y laisser ma vie, mais j'avais de longue date accepté ce sort glorieux. C'était d'ailleurs ainsi que j'avais à nouveau regardé la mort en face, en lui souriant et en brandissant mon dard, alors que mes ennemies s'apprétaient a me terrasser, était arrivé l'inimaginable, j'avais été projeté en l'air et, aprés une titanesque arrabesque, était tombé hors de portée de mes bourreaux.
Etait-ce un de ces stupides gobelins qui, voyant mon regard courroussé, avait jeté un sort sur moi alors que ses genoux cagneux et fêles s'entrechoquaient face à ma froide détermination?

Peu importait ma vie été sauve et, après un bref et prompt rétablissement, j'utilisais des forces cachées pour lancer une dague meurtriére sur le dernier des gobs.

Belle victoire en effet, tous s'étaient bien battus et certains m'avaient même aider dans mes actions. Une bien belle victoire et une bien belle équipe qui se tenait alors en ces lieux de bravoure.

*Peut etre pourais-je faire route avec eux, pour un temps bien sur, cela me changerait de la solitude dans laquelle mon honorable métier me plongait d'habitude.

Mais pour l'heure suivons les !!*

Je vis une partie du groupe se diriger vers le camps désormais vide des gobelins.
Nous allions y faire le notre, c'était une bonne idée. Je me levais, essuyais mon marteau sur mon pantalon, avant de les rejoindre.

L'état du camp qui se présentait devant le groupe démontrait bien la panique que les aventuiers avaient présenté. Le feu était encore bien vif mais la marmitte était tombé et avait répandu son contenu au sol, pas grave, ça ne donnait pas forcément envie. Les nombreuses cabanes artisanales étaient pas beaucoup mieux, les portes étaient toutes ouvertures, de nombreuses couettes étaient par terre, d'autre avaient suivit jusqu'en dehors. La grande majorité des javelines étaient restés au rateliers.

La grande surprise se trouvait en plein milieu, un grand trou, de 3 ou 4mètres de diamètres et qui se terminait sur une grande porte à environ 5m de profondeur. Les traces de pas montraient qu'ils y avait eut beaucoup de mouvement vers l'intérieur dans les derniers jours

Le tunnel était sombre et peu recommandable probablement. Qui sait quelles bêtes féroces nous y attendaient?

"-Arrangeons un peu ce camp non? On ira voir ce trou demain! On doit se reposer de toutes façons!"

J'entreprenais de monter ma tente et ma paillasse...

H.J. : Aty, quelle heure?

Environ une trentaine de minutes séparaient les aventuriers du coucher de soleil, une heure au grand maximum. Rien ne bougeait aux alentours.

Sanyq se dirigea vers le prètre qui s'installait son barda.

Personnellement je te conseillerai de dormir dans une de leur cabane, ce n'est pas le grand luxe mais ça évite toujours de se prendre une flèche.

En passant à côté de ce tunnel (si chaleureux), je vis une cabane lire juste à côté et qui avait l'air en état.
Je m'installais dedans, virant le bordel que ces créatures déchues nous avaient laissé.
Le lit n'était pas si mal en fin de compte, et l'horreur que m'inspirais la déco de la cabane me fit oublier la puanteur qui s'en dégageait.

Tout en sortant je m'adressais au reste du groupe qui arrivait :

"Je prend le premier tour de garde ce soir, et s'il n'y a pas assez de cabane pour tout le monde, je suis prêt à lui laisser."

Je fis des alentours des le camp, peut-être y trouverais-je quelquechose d'intéréssant ?

Sujet fini et vérouillé

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