Le Fardeau d'une quête inéxpliquable à accomplir

Feänor leva les yeux vers Enäël et la fixa quelques instants, la regardant dans les yeux, puis il sourrit, et dis comme si de rien était :

oui, ça va aller , puis après un temps, ...merci Enä

Voilà, à présent, ils étaient les Cinq Chevaliers, ils resteraient liés, avec une fraternité immuable.
C'est ce que ressentait leurs Maître defunts.

Puis lorsque le reste de ses amis étaient autour d'eux, Feänor leur proposa de s'assoir.

-Rappelez vous le temps, le temps où nos Maîtres, partaient quelques jours ensembles, et dormaient auprès d'une riviere, ou dans une forêt verdoyante; ils restaient à parler durant des journées entières, car la magie est avant tout une question de philosophie et de compréhension.
Lorsque j'ai utilisé le feu tout à l'heure, je ne l'ai pas fait avec préméditation, une rage folle avait pris le contrôle de mon corps, et sous le coup de cette rage, le feu est apparut de lui-même.
il attendit un temps
La magie est en nous mes amis, elle est liée à nos émotions, nous devons comprendre les éléments, et c'est ensemble que nous acquerrons la puisssance de nos anciens Maître.
Voilà pourquoi, je propose que nous profitions des pauses de temps à autres, afin de nous exercer purement et simplement à la magie, et de partager nos découvertes.
Car nous allons évoluer comme nos Maïtres ont évolués, en découvrant par nous même.
Mais pas maintenant, cette forêt est dangereuse, nous l'auront surement dépassé dans 1 heure, pour arrivé à un petit cours d'eau menant à un village de paysans.

puis Feänor attendit les réctions de ses compagnons.

Feänor passa une main dans ses cheuveux, se frotta argneusement les yeux, histoire de se redonner de l'aplomb. Puis il gorgna et se releva vivacement.

Il roula la tête, se dérouillants les articulations du cou, il vérifia que sa dague et ses couteaux étaient en place, puis il reprit son épée longue encore par terre, et la rengaina dans un bruit éffilé.

-Très bien, alors ne perdons pas plus de temps. Allons... ,puis tout bas, vers notre destin...

Et, il détendit ses jambes, trotina doucement, fit venir de force l'image du corps défunt de son ancien maître faisant venir ainsi une peu de sa rage enfouit, et il se mit à courrir.

Les Cinq couraient maintenant depuis près d'une heure, et ils arrivèrent comme Feänor l'avait prédit, près du cour d'eau d'une rivière qui apportait de l'eau potable à tout un village six kilomètre plus loin.

Feänor, fut soulagé lorsqu'ils eurent quitté la forêt, repert des Orificles.

*Nous avons courrut plusieurs heures, avant de continuer notre course en terrain difficile au mouvement qui est celui des bosquets, ensuite nous avons combattut 4 fois notre nombre en monstre venus des enfers, puis nous nous sommes remis à courrir...*

*oui, une pause s'impose*

Feänor, alors, ralentit sa course, trotinna doucement, et s'arrêta aux abords de l'eau, leva son regard sombre vers les étoiles qui se montraient doucement, puis il se tourna devant ses amis.

-La nuit tombe, il serait mieu de prendre repos dans ces environs...
ça vous dit de manger quelque chose ? je continu un peu dans la direction que prend cette rivière afin d'attraper un ou deux des animaux qui viennent s'y abreuver, quelqu'un vient avec moi ? ceux qui restent, devraient s'installer derrière ce groupe rocheux, continua t-il en montrant de gros rocs faisants face aux vents du nord, et avant de laisser son épée, sa dague et sa cape, pour ne prendre que ses couteaux de lancer, il dit, cette nuit, nous tireront les secrets magiques que recèlent cette rivière...

Tandis que les autres usaient probablement de la magie pour allumer un feu réchauffant derrière le groupe rocheux, Feänor marchait tranquillement aux côtés d'Elryon, il jouait avec un petit couteau qu'il tenait dans ses mains.

un leger bruissement, un petit grognement ni grave ni aiguë, de petits pas rapide, puis les deux Chevaliers virent un élans sortir de l'ombre des fourrés, pour aller se désaltérer à l'eau clair.

-chhhh, chuchota doucement l'épéiste.

Puis, Feänor, à l'attention de son compagnon, se montra lui-même du doigt puis décriva un arc de cercle qu'il fera pour contourner l'animal, puis il mima le fait qu'il lancera son couteau vers l'élan; puis il montra Elryon du doigt, et mima que ce dernier devrait attendre la fuite de l'animal qui courrait vers lui, pour ensuite l'abattre de son cimeterre.
Et Feänor, toujours avec des mimes, pour ne pas alerter la bête, dit à Elryon, que si l'élan se sauverait dans une autre direction, Feänor l'en dissuaderait par d'autre lancés de couteaux.

Et, pour finir, d'un hochement de tête interrogatif, il demanda l'avis de son ami.

Aussitôt qu'il fut au sec, Feanor retira sa chemise pour l'éssorer mais lorsqu'il vit Aawiel voler a travers la faille pour atterrir lourdement à un mètre de lui il la jetta immédiatement a terre et se dirigea vers elle. Il observa alors Feanor la bander et s'assit en tailleur a son chevet. Cela faisait maintenant un moment qu'elle était inconsciente; la fille qui lui paraissait si robuste d'habitude, l'inquiétait aujourd'hui. C'est alors que Feanor pris la parole.

Oui oui je me souviens bien mais comment veux tu en trouver dehors avec un temps pareil? Et je ne parle pas du risque que la foudre nous tombe dessus...

il jetta un coup d'oeil vers la jeune femme qui remua légérement mais sans se réveiller. Le sang imbibait a présent le bandage, finallement les conditions climatiques importaient peu.