Le Fardeau d'une quête inéxpliquable à accomplir

Nombre de messages : 164 Date d'inscription : 17/10/2006

-AAaahh ! poussa Bralch lorsqu'il lança son poing contre une plache de bois de chêne qui ceda sous le choc.

Puis il s'effondra sur un lourd fauteuil du même bois, et posa sa tête dans ses grosses mains puissantes.

-Que pourrions-nous faire de plus... se lamentait-il

Une main agile vint se poser sur son épaule afin de le réconforter, c'était celle d'Eliorl

-Continuer à chercher, mon ami, pour les vies innocentes de ce monde... dit Eliorl avant de se retrouner vers Therlust qui poussait un long soupir qui cachait sa frustration, ce-dernier vint se poser contre un mûr et croisa ses bras contre sa poitrine.

Ilgiorn enfouit ses mains dans sa chevelure et rejeta ses cheveux en arrière.
-La seule chose que nous ne devons faire, est de s'effondrer sur notre situation jusqu'à présent inchangée...

-Sortons d'ici, laissons le soleil réchauffer nos visages, et la brise refroidir nos ésprits, énnonça Weärl.

A ces paroles, les Cinq Chevaliers sortir de la chambre de Bralch, et prirent le sentier nord qui passait au abords du Lac et qui coninuait vers les plaines septentrionnales.

Pendant ce temps, les Cinq Intités aux Chevaliers étaient en forêt, une fosse au pied d'une coline boisée, qu'ils avaient découvert durant leurs entraînements laborieux imposés par leurs Maîtres.
Ils refléchissaient au dernier problème qui leur était posé : ils devaient entrer dans le Volcan de Voldrek et récupérer un objet posé à l'interrieur, sur une roche.
Ils avaient conlus qu'ils fallaient réunir des information sur le Volcan, son histoire, quand entrait-il en érruption, si quelque chose d'éventuel le provoquait, et par quelles créatures démoniaques était-il habité.
Ensuite, il fallait qu'ils établissent un plan d'entrée, de récupération de l'objet, et de sortie sans aucune perte humaine ni materielle de l'objet.

Les Chevalier marchaient lentement, certains observants le sol sur lequel ils posaient leurs pieds bottés, certains regardant droit devant eux et scrutant l'horizon.

-Eliminer les impurités de ce monde, le purger de ses atrocités, le purifier de ses malsainités... mumura Ilgiorn.

-Un monde tombé dans les ténèbres depuis maintenant des siècles... continua Therlust.

-Nous sommes son dernier rempart, son dernier pillier de lumière... approfondit Eliorl.

-Un dernier pillier qui va inévitablement finir par s'éfondrer... dit Bralch.

-Le trépas... la seule issue que l'on ne peut évit... Weärl n'eut pas le temps de terminer sa phrase qu'il s'écria en pointant l'horizon de son doigt rectilligne : Que mes yeux me leurent !

Les quatre autres paires d'yeux regardèrent devant eux, une marée noirâtre envahissait les plaines nues.
Une marée surmontée d'un linceul argenté.
Une marée d'hommes assoifés de sang, surmontée de lances d'acier.

-Les Hommes d'Orchestern, ils avaient prévus d'envahir l'Ostermark; je ne savais pas qu'ils l'avaient prévus pour aussi tôt ! rugit Bralch.

-On n'a pas pas le droit de les laisser passer, il tueront les villageois, les enfants, et les vieux, ils brûleront les fermes et les habitations, ensuite il passeront à l'armée de l'Orchestern ! On n'a pas le doir de laisser mourrir autant de vies innocentes ! Pour la Cmarté Purifiante ! hurla Ilgiron, afin d'influer le courage dans les ésprits de ses compagnons. en dégainant son épée longue.

-Après toutes ces années, tes aproles sont toujours aussi flamboyantes, mon ami, répondit Weärl en dégainant ses deux lames.

-Ouai ! et Bralch prit en main son lourd marteau

-Pour les vies de ce monde ! tandis qu'Eliorl encocha une flèche à la corde tressée de son arc

Therlust gloussa en sortant son sabre de guerre, Voici notre issue fatale, je suis heureux de la passer avec vous mes amis.

Tous savaient, mais personne ne le pronoçait, c'était leur dernier combat, et ils ne partiront pas seuls de cette terre.

Le combat à cinq contre une armée, fut déconcertant pour les deux camps...
La moitié de l'armée était partie en poussière, les Chevaliers usant de leurs armes comme de leurs puissante magie.

-Je crois que c'est le moment ! cria Eliorl au milieu de la bataille, à l'intention de ses compagnons

Therlust aprouva du chef, comme Ilgiorn et Weärl, ainsi que Bralch

Et les Cinq libérèrent la force de leurs ésprits, une vague déférlante de puissance balaya l'armée pour ne laisser que des cadavres dans des positions improbables.

Mais cette puissance avait son prix.
Le prix du sacrifice...

Les Cinq Chevaliers chancelairent, mais puisaient dans leurs dernières forces physiques pour se retrouver ensemble pour leurs derniers instants.
Ainsi ils tombèrent les uns à côté des autres, proches de la mort.

-Cela me fait du bien de savoir que le dernier pillier de ce monde à engendré une dernière resistance face au ténêbres... dit Bralch.

-Oui, nos apprentits, ce seront eux qui purgeront le monde des ténèbres qui l'habite... approuva Elirol.

Ils restèrent ainsi à parler de tout et de rien, profitants comme ils pouvaient de leurs dernières minutes de vie.
Puis soudain, une pensée les frappa tous.
Ils venaient de trouver le moyen d'éliminer le Chaos du monde.
Le moyen de purger cette Terre des ténèbres.
Le secret qu'il fallait découvrir...

Les Cinq Initiés avaient décidé de rentrer afin d'avaler quelque chose, puis de mettre leur plan à execution, et éventuellement, d'entendre des conseils de la part de leurs Maîtres.
Mais lorsqu'ils arrivèrent, une vision d'horreur les surpris.
Ils cavalèrent puis s'agenouillèrent vers les corps, dont les âmes menaçaient de quitter.

Ils entendirent les dernières paroles de leurs Maîtres tants aimés...
Leurs derniers mots furent :

-Nous avons trouvé... nous avons trouvé... (ils gloussèrent) il est évident maintenant qu'il revient à vous d'accomplir cet acte... vous devez... vous devez... (ils chuchotèrent) trouver... oui trouver... l'illumination...

Aawiel tenait Eliorl dans ses bras, la tête de son maitre sur ses genoux. Elle pleurait à chaudes larmes, ce n'était pas la mort d'un seul des chevaliers mais des cinq, de ses cinq Maitres, de ses Cinq Exemples, mais aussi ceux qui étaient devenu au fil du temps comme ses pères

Nous la trouverons Maitre, nous la trouverons

Nombre de messages : 164 Date d'inscription : 17/10/2006

Feänor s'agenouillait lorsqu'il sentit que la vie s'était enfin enfuie des corps de leurs Maîtres.
Il se remit alors debout, droit comme un pic.

-Enterrons-les, ils merittent un siège de repos digne des Rois, alors offrons leur ce que nou pouvons...

A ces mots, Feänor se détourna, et courru à une vitesse inimaginable sur la falaise Lichtenchtein, c'était la colline favorite des Maîtres, il les voyait souvent s'assoire au sommet. Puis, arrivé en haut, il leva les bras au ciel, chuchota quelques mots, tout en fermant les yeux.
Et la terre se mit doucement à trembler, un fossée apparut alors au sommet de la colline, un fossé rectiligne ramarquablement tracé, et séparé en cinq parties par du marbre gris fait à base de gravier.

Puis il tomba au sol, le souffle court. Pour avoir executer cette incantation, il avait réunit quelques enseignement d'Ilgiorn ausjet de la magie de la terre.

Mais Feänor trouva la force de se relever, il devait aller chercher son Maître, et le porter jusqu'a sa tombe.

A la vision de ses 5 maitres au sol, Elryon se jetta aux cotés de Therlust. Il lui serra le bras jusqu'a se que son dernier soufle l'eu quitté. Maintenant ils étaient seuls, bien que leur entrainement n'était pas tout a fait terminé, c'était maintenant à eux de continuer l'oeuvre de leur maitre et comme ils leurs avaient demandé: trouver l'illumination. Elryon resta quelques minutes plongé dans une sorte de mélancolie puis il se releva et vit que Fëanor se mit a courir vers la falaise Lichtenchtein pour y creuser la tombe de leurs maitre. Il regarda le corps sans vie de son maitre a terre puis il se baissa pour le porter jusqu'a sa dernière demeure.

Nombre de messages : 164 Date d'inscription : 17/10/2006

Feänor mena lui aussi son Maître Chevalier jusqu'à sa tombe.
Son ésprit était confus, brouillé, flou, il n'avait pas la tête froide, cette sensation lui déplaisait fortement.

Puis il dit à ses amis :

-Allons devant leurs tombes et efforçons-nous de chuchoter chacuns quelques paroles pour nos Maîtres bien-aimés.

Et aussitôt, il prit place devant le lit funéraire d'Ilgiorn et chuchota des mots à son attention.

-Maître, vous n'êtes mort en vain, votre existence fut une des plus précieuses en ce monde. Vous avez accomplis des prouesses, et j'espère que vous savez que mon ésprit et mon âme ont été entièrement inspirés de votre personne.
Et je jure sur votre tombe de ne mourrir en vain, moi aussi...
j'accomplirais vos rêves et vos éspérances...
lorsque je vous rejoindrais, dans la mort, vous serez fiers de moi...
C'est un serment céllé par mon sang...

Feänor sortit de suite un couteau de chasse de sa gaine, et s'entaya la paume.
Puis il tandit le bras et pressa sa main au dessus du corps de son Maître Chevalier.

Nombre de messages : 164 Date d'inscription : 17/10/2006

Feänor attendit que ses compagnons fassent de même, ensuite, à l'aide de ses 4 amis, il combla la fosse et ils gravirent ensemble sur la pierre tombale des mots imprégnés de leurs affection envers les défunts : "que les véritables rois de ce monde trouvent la destination du repos éternel, car leur ambition sera accomplie"

Puis le caracter habituel de Feänor reprit le dessus.
Il ampoigna le fourreau contenant son épée posé au sol, et le cella à sa ceinture. Il vérifia que ses dague et couteaux étaient bien rangés, il rajusta ses vêtement en tirant sèchement sur le col de gilet de cuir, les pans de son pantalon sombre et resserra sa ceinture. Il passa une main dans ses cheveux, et une fois que sa main quitta son visage, ses yeux déterminés et impassibles revinrent à la surface.

Il serra les poings, et dos à un énormes rocher, son revers droit s'abattit contre le roc, puis il parla d'une voix claire, forte et infaillible :

-Allons accomplir notre quête, Ilgiorn m'a confié hier que notre mission de récupération est en grand rapport avec la quête, ce n'était pas qu'un simple entraînement.
Voyageons légé, nous trouverons la nourriture sur le chemin, et nous tuerons ceux qui nous ampêcheront d'avancer ! Faisons preuve de notre force, car à présent... NOUS SOMMES LES CINQ CHEVALIERS !

Et Feänor se mit en marche, puis doucement, ses pas s'accélérairent, et il se mit à courrir, tel ces courses forcées qui font courrir de longues distances en peu de temps.
Il leur faudrait courrir longtemps, et ils possédaient cette andurance des guerriers.

Invité

Enäël soupira. Tout ce débalage de pleurs l'exaspérait. Après tout, ma mort était naturelle. Si les Chevaliers étaient morts, c'était qu'ils avaient fait leur temps. Elle aida tout de même ses compagnons à transporter les corps. Elle leur devait quand même respect.

Le vent soufflait dans ses cheveux tandis que le sommet de la colline approchait. Après avoir déposé le corps de Weärl, elle écouta ce Feänor avait à dire. Soupirant de plus belle, elle chercha ce qu'elle pourrait dire. Rien ne lui venant à l'esprit, elle choisit de ne rien dire.

L'adolescente sortit un de ses couteaux, puis choisit une de ses mèches blondes. Avec un geste vif, elle la coupa. Se penchant sur le cadavre du Chevalier, elle enroula les cheveux autours du bras. Elle détacha également les fourreux de la taille de Weärl et les disposa en croix sur le corps de son Maître.

Voila. Elle aurait voulu le brûler selon la tradition de chez elle, mais elle craignait que les autres ne soient pas d'accord.

Lugn

dit-elle simplement, mot quelle grave également à la suite de ce qu'avait écrit Feänor. Quand ils eurent finis, Enäël regarda la métamorphose mentale de Feänor qui s'était déjà mis à courir. Haussant les épaules, elle le suivit. La vrai travail commençait enfin.

Le soleil sur sa peau lui était agréable, bien qu'un peu brûlant. Ces terres étrangent n'avaient rien de commun avec le Grand Nord où elle était née, mais il y faisait bon vivre.

Aawiel avait déposé le corps de son Maitre en dernier dans sa dernière demeure, parce qu'elle avait eut du mal à se déider de se lever et aussi parce que la force n'étant pas son point fort, elle avait eut du mal à le transporter jusque sur la colline.

Elle sortit une flèche de son carquois et s'entailla profondément la main gauche. Le sang coulait assez fort sur ses doigts mais de son index ensanglanté, elle commença à écrire des symboles dans la terre en lançant une incantation

Que, ici même, des cendres de ces cinq corps
Qui accueillaient les meilleurs soldats de la Vie
Pousse en nombre des vivres pour les ennemis
de ceux qui répandent, pour le plaisir, la Mort

Au centre même de ses symboles, un petit arbre se mit à pousser, et elle espérait que d'avoir céler le sort par son sang et à l'endroit où étaient entérés leurs maitres renforcerait les effets

Ensuite elle banda sa main et se mit à courrir derrière Feänor

Nombre de messages : 164 Date d'inscription : 17/10/2006

Feänor savait, qu'il devait économiser ses forces, cette course forcée serait éprouvante, et il ne devait pas commencer trop rapidement au début, mais il ne pouvait s'en empêcher, ses jambes bougeait étrangement vite. Lui et ses amis étaient à présent en forêt, mais ce paysage difficile au mouvement ne ralentissait pas Feänor, ce dernier sautait, enjambait, flechissait, s'élançait, écartait branchages et feuillages de son chemin. C'était un de ses défauts, il voulait en finir tout de suite, mais un de ses défauts (se transformant en avantage selon les circonstances) est qu'il n'arrêterait jamais, tant qu'il ne verrait pas le bout.

Ainsi, la fitigue, jusqu'à présent cachée par la rage, se fit sentir. Mais il sourrit, et comme si cela avait été un affront, il accéléra encore, il semblait que rien ne pourrait le faire dévier de sa route.

il jeta un oeil derrière lui, et voyant ses amis derrière lui, il leur lança :

-Nous pénétrons dans la région d'Ariagor !

cela signifiait, que lui et ses compagnons devaient se concentrer sur leurs sens, et pressentir l'environnement, faire corps avec la nature.
Car à présent, il entraient dans le royaume des Orificles, ces créatures invoquées autrefois par des mages noirs, s'étaient reproduits sans cesse, dépassant la maîtrise de leurs invoquateurs. Des créatures perfides, complêtements dans leur élément en forêt, et ne faisant pratiquement aucun bruits durant leurs déplacement.

Elryon était assit en tailleur devant la tombe de son maitre alors qu'il était en train de graver a l'aider d'une pierre pointue le nm de son maitre sur sa lame : Therlust

Feanor prit la parole et il retrouva peu a peu son entrain naturel. Leur véritable de quete était donc liée a leur précédente mission, il devait donc s'y mettre le plus rapidement possible. Feanor avait raison, ils étaient les 5 chevaliers et leur destin était d'accomplir cette mission. Voyant Feanor se mettre a courir, il partit a sa suite.

Courant a l'aide de grande enjambée pour se fatiguer le moins possible en parcourant le plus de distance. L'épuisement commençait a venir lorsque celui-ci se retourna vers eux en leur indiquant qu'il venait de pénetrer sur un nouveau territoire : la région d'Ariagor.

Son maitre lui avait souvent parler de cette endroit mais surtout des créatures qui y habitaient. Il les craignaient mais ne laissaient rien voir.

Nombre de messages : 164 Date d'inscription : 17/10/2006

Feänor courrait à travers les fougères comme en terrain dégagé.
Sachant à l'avance le leger bruit qu'allait émettre chacuns de ses pas.

Ces compétences de rôdeur que lui avait enseigné Ilgiorn lui était maintenant très utiles, mais Ilgiorn ne lui avait appris que cela, qui lui serait utile en pleine nature.

Soudain, Feänor leva haut le bras droit, afin que ces compagnons puisse voir distinguement son poing; il allait user des signes jargon que leurs avait enseigné leurs maîtres.

Il écarta les doigts, ferma fort le poing, ouvrit sa paume en serrant les doigts, puis replia trois doigts en laissant son index et son majeur levés. Puis il réouvrit entièrement sa paume avec les doigts serrés et tourna vivement sa main d'un demi-tour la mettant ainsi rectiligne à sa course, puis l'abaissa vivement droit devant lui.

Alors, il piqua un sprint comme il l'avait dit à ses amis.
Puis ils débouchèrent devant un immense rocher dont Feänor se mit à dos en dégainant son épée longue. Il avait entendu depuis longtemps la poursuite que les Orificles avaient lancé, il avait indiqué à ses compagnons qu'ils étaient une vingtaine sans compter les éclaireurs et les empêcheurs d'ambuscade qui courraient en dehors de la horde afin de prévoir ou de sauver des ambuscades éventuelles. Et Feänor avait demandé de piquer une course folle pour se retrouver au dos du de l'énorme rocher, pour qu'on ne puisse les entourer.

Son épée longue cintilla aux reflets du soleil...

Aawiel n'aimait pas du tout quand Feänor faisait celà d'autant plus que la course n'était pas sa spécialité mais elle s'efforçait de maintenir une distance relativement faible entre eux.

Lorsqu'ils entrèrent en territoire des Orificles, elle n'eut pas de réaction physique mais était très inquiète. Bien qu'elle sache parfaitement manier sa lame, son armede prédilection restait son arc qui lui était totalement inutile, en cas d'attaque surprise elle n'aurait pas le temps de tirer et les les arbres ne l'aident pas

Alors Feänor leur indiqua la présence des Orificles, elle dégaina son fouet et l'envoya en l'air pour accrocher une grosse branche en pleine course. Profitant de sa vitesse, elle s'y suspendit comme à une liane. Une fois posée sur une branche, elle prit de grandes impulsions pour aller se placer non loin du rocher et dégaina son arc

Nombre de messages : 164 Date d'inscription : 17/10/2006

Feänor vit Awaiel en hauteur *oui, c un avantage...* et il regrda ses compagnons se resserer à ses côtés. Elryon, Enäël, Feänor, cela faisait trois guerriers au corps à corps. Awaiel étant en hauteur, il ne restait plus qu'Aelic étant combattant à distance, à trois, ils ne pourraient pas former un bouclier pour donner la possiblité de couverture d'Aelic. *il faut qu'il grimpe sur le rocher, les Orificles sont visqueux et glissants, ils grimpent aux arbres gracent à leurs griffes acérées, mais sur un rocher ils ne pourraient pas le gravirent, glisseraient, et resteraient aux sol*

Les Orificles seraient commenceraient l'attaque bientôt il fallait se dépêcher.
Feänor planta son épée dans le sol, et posa un genoux au sol, au pied du grand rocher, il rentra la tête et cria :

-Aelic ! monte sur mon dos pour gravire le rocher ! Elryon aide-le ! puis il entendit un léger bruissement, il leva le regard Ils arrivent !

Aëlic avait surement été celui qui avait été le plus bouleversé par la mort des Chevaliers, normal il avait été adopté par bralch alors qu'il était bébé et n'avait presque connu qu'eux.

Depuis qu'il les avait retrouvé, il était resté silencieux, commençant son deuil et un mot et étrangement sans une larme. Même lors de la course, il ne montra pas le moindre sentiment, encore plus centrer sur lui même qu'un rocher. et ce n'est même pas l'évocation de 20 Orificles qui lui aurait défrisé un surcil.

Lorsque Feanor lui dit de monter, pas un regard, il prit un petit mètre d'élan prit appui sur le dos de son compagnon et bondit sur le rocher qui était malgré tout assez haut.

Il dégaina ensuite immédiatement son arc et posa une flèche sur la corde, c'était pas le moment de le faire chier et ses yeux n'en démentaient pas

Nombre de messages : 164 Date d'inscription : 17/10/2006

Feänor, les cheuveux tombants devant ses yeux, se releva doucement...

Et lui et tous ses amis purent voir les Orificles formants un demi-cercle autour d'eux.

Il leva la main, intimant à Aëlic et à Aawiel de ne pas tirer, il s'approcha tranquillement de son épée plantée dans le sol et posa les paumes dessus, la tête toujours baissée, comme si son attitude, en temps de combat, se mettait à changer, en effet, une furie noire naissait en son ésprit, comme à chaque fois qu'il combattait.
Enfin, il redressa lentement la tête vers les ennemis qui poussaient à présent des grognements et des bruits infectes.

Ses yeux s'écarquillèrent d'un coup, il tira violament sa lame de l'herbe humide sous ses pieds. Les monstres foncèrent, et Feänor entonnait à ses compagnons archers :

-Laissez-les venir... Attendez... Attendez... Atendez... il monta le pommeau de l'épée à la hauteur du visage AAAaaarh !!! Tireeez ! en s'élançant en une rage démencielle vers Orificles gluants.

Au signal de Feänor, deux flèches partir immédiatement, celle d'Aëlic percuta violement le haut de la pate d'un Orificles et l'arreta net dans sa course. Cependant ce genre de bestiole est loin de se contenter d'un seul trait pour les tuer, ça aime collectionner

Le tir d'Aawiel était un peu plus basé pour neutraliser la bête, un joli tir lors d'un saut, la flèche se planta dans la patte du monstre qui fut clouser au sol avec le bout de bois planter dans le sol

La reprise de la course fut un peu dur pour Elryon qui commençait a être épuisé mais le message muet de Feanor ne laissait aucun doute; ils étaient poursuivit. Arrivé au grand rocher, Elryon imita feanor et sortit son cimeterre, pret au combat. Impatient il attendit que Feanor donne le feu vers pour se jetter dans la bataille. Au moins ils n'avaient pas été pris aux dépourvu. Elryon combattit de toutes ses forces contre ses puissantes créatures.

Nombre de messages : 164 Date d'inscription : 17/10/2006

Les Orificles utilisaient principalement des lances courtes, des machettes et de petites haches.

Feänor, partit au combat le premier, trois piques acérés de lances l'attendaient de pied ferme.
Toujours en courant vers ces Orificles qui le pointait, il plaça rapidement son bras en revers, et décrivit un grand arc de cercle de toute sa force, il envoya ainsi valser les trois lances pointées vers lui; et d'un coup de Taille, tournant sur lui-même, trancha deux tête, et enfonça sa lame dans la trachée d'un des monstres gluants.
Feänor avait étudié auparavant, avec Ilgiorn, l'anatomie des Orificles. Ils possédaient un point fragile, qui se trouvait à la base du cou; ce qui permit à l'épéiste de couper deux tête facilement, puis d'ouvrir la trachée d'un autre, tout en perdant le moin de vitesse possible.
Et Feänor mit à profit cette vitesse, pour envoyer un coup d'estoc dans l'abdomen d'un gluant armé d'une machette; puis il envoya son pied dans le torse de ce dernier pour en déloger sa lame profondément enfoncée.
Mais feänor devait toujours rester en mouvement, les Orificles avait des réflexes de serpent, bien plus rapides que ceux des humains, mais leurs cerveaux, peux évolués, ne leur permettaient pas de contrer rapidement les attaques de guerriers entraînés, tant que ceux-ci contenaient une vitesse plus ou moin rapide. Mais si, durant un combat contre des Orificles, on restait un tantinet immobile, on donnerait le temps à leurs petits cerveaux de lancer leurs attaques de la rapidité des serpents.

Invité

Une fois de plus, Enäël soupira. Ce qu'elle pouvait détester ces gestes qui, pour elle, ne sinifiaient pas grand chose. Enfin, elle en avait compris le sens général au vue de l'insistance avec laquelle Feänor s'était remis à courir. Enfin, ils arrivèrent à un rocher. Ils durent se mettre dos à celui ci, tandis que les deux montaient sur le monticule.

*Raaah, j'ai besoin de place pour me battre moi*

Une fois de plus, elle allait faire avec. De toute façon, les Orificles étaient déjà là. La jeune femme sortit les deux couteaux de ses bottes. Au cris de Fëanor, elle les lança vers la gorge d'un des monstres. Si le premier passa à côté, ne faisant qu'effleurer la bête, l'autre se ficha dans son cou. Alors qu'il hurlait de rage et courrait de plus en plus belle, Enäël sortit ses deux épées et se jeta à sa rencontre.

De sa première lame, elle bloqua le coup de machette, son bras tremblant sous la force de l'attaque. Sa seconde épée se planta dans le ventre de l'Orificle, puis sortit pour se planter dans le cou. Enäël eut à peine le temps de se dégager qu'une lance partait vers son abdomen. Avec difficulté, elle croisa ses deux armes pour bloquer le coup, puis du genoux dégagea la lance avant de plonger ses deux lames dans le corps du monstre.

Les flèches d'Aëlic et de Aawiel ne semblaient pas des plus efficaces, difficiles de toucher une cible en mouvement dans une zone relativement petite et par le dessus mais le choc dû à chaque tir était dérangeant alors les deux archers ne se privaient pas

Alors que leurs trois amis se battaient, Aawiel vit l'un des Orificles arriver dans le dos de Enäël. D'un geste rapidement de la main, elle attrapa son fouet et foueta les airs pour attaquer la machette avant qu'elle ne s'abatte. Aawiel failli chuter sous la force du monstre mais se crampona

Invité

Enäël entendit un claquement de fouet dans son dos. Assomant son vis à vis du pommeau de son épée, elle se retourna et vit un des monstres, le bras enserré dans l'arme d'Aawiel. Tranchant d'abord le membre, elle croisa ensuite ses lames qui laissèrent une croix sanglante sur le torse de la bête.

Nombre de messages : 164 Date d'inscription : 17/10/2006

Feänor se baissa, flanqua un coup d'épaule dans le torse d'un monstre afin de le faire reculer, envoya son coude dans la machoire, si violament que le cou cassa sous le choc.
Il lança un rapide coup d'oeil circulaire afin de jauger la distance qui le séparait de ses amis, il était seul, entouré de toutes parts.

*il faut que je me rapproche d'Elryon ou d'Enäël, sinon, je me ferait prendre inévitablement par derrière*

Mais Feänor devait se frayer un chemin, et les Orificles combattait avec trop de tenacité.
Il plia les genoux bien bas -son épée longue lui servirait beaucoup maintenant- puis, vivacement, tandis qu'ils venaient tous s'abattre sur lui, Feänor, remonta tout en tournant sur lui même, son bras continué de son épée bien tandu. Il lacéra ainsi tous les gluants autour de lui, mais il ne s'arrêta pas là, il tournait, tournait, d'un force et d'une puissance incomparable; sa lame était forgée par Bralch lui même, et avec les affres de la magie, elle ne s'émousserait jamais, ne casserait jamais, et était d'un tranchant comme on en voyait peu.
Alors, utilisant tous ses muscles au maximum de ses capacités, il tourna, tourna, afin de créer un espace circulaire autour de lui.

Il en avait tué plus de cinq, et en avait bléssé plusieurs. Alors il se mit en quête d'Enäël, qu'il avait vu le plus près de lui tout à l'heure. Mais, la contre attaque revint immédiatement contre lui, ce qu'il n'avait pas vu venir.
Un pique dans la cuisse, une érafflure à l'épaule gauche, et de multiples entailles dans son dos. Puis feänor plia sous les coups incessants.
L'image d'Ilgiorn s'incrusta d'elle même dans son ésprit, une affluence de rage s'emparra de lui.
Il hurla et se leva de force, lacha son épée, qui cintilla et tomba au sol. Puis écarta d'un coup les bras. Et une flamèche s'échppa de sa paume, puis de l'autre, et soudain une déflagration flamboyante apparut tout autour de lui, et s'étandant plus loin.

Feänor tomba à genoux, il avait déjà utiliser le feu dans son entraînement avec Ilgiorn, mais jamais aussi puissament, ni aussi rapidement.
Avec une sensation qui lui faisait pensé qu'il n'était pas fatigué, mais plutôt vidé.
Il se força à reprendre en main son épée longue, et se remit sur pied. Et il vint se mettre dos à dos avec Enäël.

Aawiel se rendit finalement compte que ses tirs ne servaient quasiment à rien, du haut de son arbre elle lança une invocation sur l'un des Orificles qui commença lentement à s'enfoncer dans le sol. Ensuite elle fit claquer son fouet sur la branche ou elle se trouvait et s'y balancé pour descendre.

Avec la vitesse qu'elle prenait, elle frappa du plats des deux pieds, la tête de celui qu'elle venait de pieger.

Elle sorti ensuite sa lame pour rejoindre les autres.

Nombre de messages : 164 Date d'inscription : 17/10/2006

à présent il ne restaient pas plus de trois guerriers Orificles, Feänor rugit et faucha une tête de sa lame puis, laissant à ses amis les deux derniers et l'achèvement des gluants agonisants; Feänor chancela, et reprenant son souffle difficilement, il alla glisser contre la parois du grand rocher, il plia une jambe et étendit l'autre devant lui, il posa son épée à ses côtés et posa un bras sur son genou relevé. Il aimait cette position confortable, cela l'aidait à réfléchir.

*putain... putain... putain... putain de merde !*
*il faut que je m'entraîne plus à la magie..., je sais faire beaucoup de choses, mais je n'en ai placé qu'une dans ce combat, à quoi serviraient-elle sinon à cela....*
*et merde !*

Feänor sortit agilement sa dague de sa gaine à la ceinture, la mania quelques instants entre ses doigts, puis l'attrappa fermemant et d'un revers, tanta de la planter dans le rocher. Elle fit craqueler la pierre, et de minuscules débrits tombèrent au sol.
Et il frappa, frappa, encore et encore, afin de se défouler quelque peu.

*Il faut aussi que cela m'épuise moin...*

*je sait former une boule de feu, je sait faire jaillir la terre devant et sous mes pied, s'il y a de l'eau, je sais à peu près la manier, et enfin, je suis cappable de comprimer l'air proche de moi afin qu'il puisse bouger un objet... ou le frapper*

Puis Feänor pensa à tous ces moments que leurs anciens Maîtres passaient entre eux, à parler de magie et de philosophie, à s'exercer et à se donner des conseils...

*c'est ça ! c'est ça qui faisait leur force !*

puis Feänor attendit que ses compagnons en eurent finis avec les derniers Orificles

Invité

Enäël sentit une grande chaleur dans son dos, puis Feänor qui se plaçait derrière elle. Il avait donc usé de magie. N'était-ce pas un peu risqué? Leur quête ne faisait que commencer et il n'était pas prudent de se fatiguer si tôt. Enfin, il savait ce qu'il faisait. Sûrement. Autours d'eux, il ne restait plus que trois Orificles. Feänor se débarassa facilement du premier, laissant les deux derniers ses compagnons. Enäël ne se fit pas prier et se fendit. Le monstre réussit à éviter le coup et aurait sans aucun doute tranché le bras de l'adolescente si elle n'avait pu parer. De fait, il y eu juste une entaille. Peu profonde, mais assez pour la faire lâcher son arme. La rage dans les yeux, Enäël décrivit une courbe avec sa lame, traçant une ligne sanglante dans le corps de son ennemi.

Enfin. Le combat était finit. Arrachant un bout de cape, elle s'en servit pour se bander le bras, après avoir craché dessus. Ensuite, elle alla chercher ses couteaux. Elle revint en maugréant: un s'était cassé. La fille s'approcha de Faënor. Ne maîtrisant pas la magie, elle ne pouvait imaginait ce que ressentait leur chef. Toutefois, certaines choses étaient assez visibles.

Ca va?