mon "volontariat" pour entrer chez les P.U.M.A.S a été plus que percutant. Les conflits du pays, j'en avais rien à carrer, les Français pouvaient se tapper avec qui ils voulaient, ça les regarde, de toute façon ce n'était pas mon pays mais les circonstances m'ont obligé à réviser mon jugement.
J'étais tranquillement en train de rentrer chez moi après les cours quand une patrouille de flic s'est mise à mon niveau. Comme tous flics qui se respectent, ils puaient l'alcool et voulait me faire chier en m'insultant. J'ai dévié ma route mais ils m'ont suivi. L'un d'eux est sorti de la voiture mattraque à la main me disant de gentiment me laisser faire.
Je ne suis pas quelqu'un qui doit se faire arrêter, mon quartier abrite de nombreux dealers, même si je ne parle pas, je uis dans la merde en rentrant. J'ai commencé à partir en petite foulé étant sûr qu'il ne me rattraperait pas mais l'autra m'est rentré dedans avec sa voiture.
En me relevant, je l'ai vu me courrir dessus. plus rapidement de lui, je lui ai écrasé mon pied dans le genou dans un craquement sordide, avant de me tapper avec l'autre. bourré, con et bedonnant, bref un flic, je n'ai pas eut de mal à m'en sortir mais a peine je partais qu'une fourgon est arrivé et là, je ne faisais pas le poid face à ses types, beaucoup trop bien entrainés pour moi.
Je me suis retrouvé enfermé dans une pièce, sans eau, sans nourriture et sans lumière pendant 3 jours. Après ce délai, j'ai juste eut le droit de choisir d'y retourner jusqu'à ce qu'on m'y oublie ou de servir le pays.