Aawiel

Nom du personnage : Aawiel
Lieu de naissance : A Vacktannev
Race : Humaine
Sexe : Femme
Taille : 1m64
Poids : 53kg
Age 22ans
Langue(s) parlée(s) : Commun
Description physique : Visage : Jolie brune au cheveux longs qui lui arrivent au milieu du dos. Ses yeux sont marrons et donne un impression constante d’invitation. Elle a les traits du visages doux.
Corps : Très alléchante, ses formes intéressent plus d’un homme. Sa tenue est généralement très courte. Elle se constitue d’une sorte de ceinture d’où descend du tissus pour couvrir le minimum ainsi que d’un soutient gorge. Ses habits sont plutôt penser à des haillons mais sont de bonnes qualités. Une paire de botte souple. Des lors qu’elle sort les armes, elle s’équipe de protection pour le moins de base, une épaulière sur la droite, retenue par deux fines chaînes passant l’un au dessus de l’épaule opposé, l’autre sous le bras opposé. Elle a aussi un gantelet d’arme au bras gauche pour la protéger de la corde de son arc. Elle porte un simple gant de tissu sur la main droite. Par soucis de dextérité ses doigts ne sont pas recouvert.
Avatar suivra.
Caractère : C’est une femme foncièrement bonne malgré les conditions de son pays, elle tente d’aider comme elle le peut. Elle est consciente de son physique avantageux et n’hésite pas à l’utiliser comme une arme aussi froide que son arc. Elle est attirer par toute forme de plaisir, mental mais surtout physique.
Famille : Parents notables dans un village
Gens qui l’entourent : Les apprentis des chevaliers et les chevaliers avant leur mort
Don: excelle en sculpture sur bois
Armes : Un arc de bonne qualité qu’elle a fabriquée elle même temps son apprentissage auprès des chevaliers. Un fouet de trois mètres ainsi qu’une épée courte.
signe particulier : N’aime pas portée plus de vêtement.
défaut: Un peu trop confiante en elle.
Histoire du personnage : Aawiel est née fille unique de notable dans un village de Vacktannev. Leur fortune est petite mais leur brutalité est celle de leur pays. Durant toute son enfance, Aawiel à été autant frapper par son père que par sa mère mais pourtant dans sa tête, persistait une lueur de bienfaisance. Alors que la mentalité était que les femmes restaient aux fourneaux pendant que les hommes frappaient ceux qu’ils pouvaient, la jeune fille avait usé de ses charmes pour voler un arc à un soldat et apprenant seule à tirer. Bien souvent, elle se blessait avec la corde et il lui était difficile de masquer les plaies alors elle s’arrangeait pour accuser les personnes les plus violentes du village afin de ne pas se faire attraper et libérer les environs des brutes. Un jour d’été, un groupe de soldats passa par son village, décider à prendre du bon temps. Il entrèrent dans une maison et firent sortir tout le monde. Quatre soldats commencèrent leur coït sur la femme de maison qu’ils venaient éventrer et tout ça sous les yeux du mari et de leur jeune fille. Après qu’une douzaine d’homme soit passé sur le cadavre, les soldats rouèrent de coup l’homme et emmenèrent la petite à peine âgée de 11 ans. Ce n’était pas tolérable aux yeux d’Aawiel qui savait très bien ce qui attendait la petite. Elle se mit à courir vers l’endroit où elle cachait son arc et son carquois mais des travaux dans la pièce l’empêcha de prendre l’arme sans être vue. Elle perdit ainsi presque une journée de marcha sur les soldats mais dans la nuit, elle prit l’arc et se mit à traquer le groupe. Elle pensait pouvoir les rattraper dans la journée mais la marche des hommes étaient rapide, après deux jours de poursuite, elle fut même obligé de ralentir sa marche afin de brouiller ses propres traces, il était évident que l’on avait remarqué sa disparition et quitter sa famille sans l’accord de son père pouvait lui être mortel si on l’y ramenait. Il lui fallut finalement une bonne semaine pour rattraper cette fichue journée de retard. Elle ne pouvait arrêter de penser à ce que la jeune fille avait pu endurer.

C’est sur un terrain rocailleux qu’elle passa à l’offensive. Postée en hauteur sur un rocher surplombant le chemin du groupe de soldat, elle décocha sa première flèche. Le manque d’entraînement sérieux se fit vite voir, ses tirs avaient beau être très précis, elle manquait de vitesse et se retrouva rapidement avec les soldats proches d’elle. Sa légèreté et sa dextérité lui permirent d’éviter les coups dans un premier temps mais faut vite contrainte de faire face. C’est à ce moment là que sortis de nul part, les Chevaliers arrivèrent pour affronter la patrouille de soldat. Aawiel ne se laissa pourtant pas tout de suite surprendre et tenta de libérer la petite grâce à ses flèches, une réussite surtout aider par la présence des chevaliers.

A la fin du combat, la jeune femme s’agenouilla devant les 5 guerriers, ils étaient un peu ses modèles, des exemples de droitures et d’altruisme. Il vit en leur arrivé comme un signe pour se dévouer aux autres et n’ayant plus d’endroit où aller, elle leur demanda si elle pouvait apprendre à leurs côtés. Ils hésitèrent longtemps puis décidèrent de la tester aussi bien sur le plan physique que psychologique. Après quelques temps d’épreuves incessantes et dur pour le corps, Eliorl la prit sous sa tutelle jusqu’à sa mort où elle se mit en quête de l’Illumination avec les autres apprentis.